Créer ta première pub sur les réseaux sociaux avec Camille Celse – Experte Publicité Digitale
– Épisode 24 –
Hey, bienvenue dans ce nouvel épisode, aujourd’hui, je te présente l’univers de Camille Celse et son parcours dans l’entrepreneuriat. Camille va te raconter son histoire et te partager son expérience d’experte en Publicité Digitale pour te permettre toi aussi de lancer ta première campagne pub sur les réseaux sociaux, sans flipper, sans te planter et sans y laisser ton PEL !
Alors, pour commencer, Camille, peux-tu te présenter plus précisément pour ceux qui ne te connaissent pas encore ? Qui es-tu et pourquoi t’es-tu lancée dans la grande aventure de l’entrepreneuriat ?
[Camille] Moi c’est Camille je suis gestionnaire en compte publicitaire que ce soit sur le groupe méta qui englobe Facebook et Instagram, mais aussi toute la partie Google
En fait, après mes études, j’ai terminé mon master et ensuite je me suis directement orientée vers l’entrepreneuriat. J’avais essayé de chercher un emploi en CDI, mais ça ne m’attirait pas vraiment. Alors, j’ai décidé de tenter l’aventure de l’entrepreneuriat. Ça a bien fonctionné, et je crois que c’était la meilleure décision.
Comment en es-tu arrivée à devenir Experte Publicité Digitale, en quoi ça consiste et quels sont les services que tu proposes ?
[Camille] En fait, j’ai commencé à m’intéresser à la publicité digitale pendant ma licence, notamment lors de mon alternance en agence de communication. C’est là que j’ai découvert Google, et j’ai vraiment accroché. Je suis toujours restée attachée à cela, que ce soit dans mes études, mes cours, ou même dans ma vie personnelle. J’ai eu la chance d’avoir un professeur qui était freelance, spécialisé dans la gestion Google Ads. C’était vraiment intéressant, et au fil du temps, ça m’a encouragé à me lancer.
J’ai vraiment de la chance de l’avoir comme guide, car il m’a partagé ses expériences et ses connaissances.
Petite anecdote : lors de ma licence, j’hésitais à choisir une filière plus professionnelle plutôt que de l’initiale, pensant que c’était moins avantageux.
Mais ça s’est avéré être le meilleur choix que j’aurais pu faire. Cela m’a conduit vers l’alternance et la professionnalisation, me permettant d’entrer dans le monde professionnel avec une perspective concrète. Finalement, ça a été bien plus enrichissant que ce que j’aurais pu obtenir en suivant une autre voie.
[Obéline] Il est vrai que beaucoup ont des a priori sur l’alternance, pensant qu’elle est moins sérieuse ou moins académique. Pourtant, cela permet d’apprendre de manière pratique et concrète sur le terrain, offrant une expérience bien plus enrichissante que les cours théoriques.
[Camille] Pour ma part, c’était la meilleure décision, et maintenant je suis toujours à fond dans ce que je fais.
Aujourd’hui c’est quoi les services que tu proposes à tes clients ?
Aujourd’hui, je propose des services de gestion de compte publicitaire, de stratégie publicitaire, et je m’oriente de plus en plus vers la formation pour accompagner ceux qui ne savent pas comment s’y prendre.
On ne va pas se mentir, il y a énormément d’idées reçues sur la publicité sur les réseaux sociaux. Notamment que ça n’est pas toujours efficace, que ça coûte une fortune ou même que ça peut faire chuter la visibilité de nos posts habituels. Est-ce que tu peux nous en dire un peu plus ?
[Camille] En réalité, il y a beaucoup d’idées fausses sur la publicité sur les réseaux sociaux. Par exemple, on pense souvent que c’est coûteux et réservé aux grandes entreprises. Même les petites structures peuvent en profiter. Il y a aussi des idées reçues sur l’efficacité, mais en travaillant correctement la publicité sur les réseaux sociaux peut être très bénéfique pour toutes les entreprises, grandes ou petites. C’est dommage de se priver de cela sous prétexte de ne pas avoir le budget, d’où l’importance des formations qui peuvent aider, comme tu l’as mentionné.
Peux-tu nous en dire davantage sur ces idées reçues et les clarifier un peu?
[Camille] Concernant la visibilité, souvent on entend dire que si on fait de la pub, l’engagement en organique va chuter, alors que ce n’est pas forcément vrai, parce que méta, c’est une grande structure et donc plus on a tendance à utiliser des fonctionnalités de méta plus tu es récompensé, et donc ce principe s’applique aux publicités, méta n’a aucun intérêt à pénaliser les personnes utilisant leur fonctionnalité, au contraire.
C’est le premier pas et le taux d’engagement est forcément lié à ta visibilité. Quand je fais de la publicité, c’est beaucoup plus visible que lorsque c’est juste en organique. Tu vas avoir beaucoup plus de personnes qui vont voir ton profil, pas de la même manière que lorsque tu es juste en organique. Tu peux avoir des personnes qui vont cliquer sur ton profil parce qu’ils ont vu une pub et veulent en savoir plus sur toi. Ils ne sont pas dans une démarche de « je vais au hasard, je vais regarder tous ces posts et liker ». C’est différent.
Bon, ton taux d’engagement baisse, mais ça ne veut pas du tout dire que ce que tu fais en organique ne fonctionne plus, que c’est moins bien ou quoi que ce soit. C’est juste des maths, tout simplement. Mais en aucun cas on peut dire que l’organique est négatif ou que la pub est négative. C’est simplement quelque chose de différent de ce que tu fais.
La force de la publicité, c’est que tu vas pouvoir être visible, mais surtout viser les bonnes personnes. Si tu fais de la pub, tu ne vas pas cibler monsieur tout le monde, tu vas cibler la personne précise à laquelle ton service répond.
On parle souvent des boosts et des pubs, et c’est une question qui nous revient sans arrêt : savoir c’est quoi la différence au niveau du ciblage, est-ce que c’est pareil ou pas ? Est-ce que tu peux nous expliquer un peu plus en détail la différence entre un boost et une pub ?
[Camille] Alors, un boost, ça va être, entre guillemets, la première entrée que va t’offrir Facebook pour aller faire de la publicité. C’est de la publicité simplifiée, parce que tu la fais littéralement sur ton téléphone. Il va principalement te proposer, je crois, trois objectifs. Tu vas pouvoir avoir du trafic, de la visibilité, ou de l’engagement. C’est bien, mais ce n’est pas forcément ce qui t’intéresse, tu as plutôt besoin d’avoir des adresses mail, d’enrichir ta base de données, d’avoir des inscriptions à ta Masterclass. Ce n’est pas forcément quelque chose de concret finalement.
À l’inverse, quand tu vas dans le gestionnaire de pub, et que tu vas vraiment travailler tes objectifs, tu vas retrouver des objectifs de prospects, de générations de leads. Si tu veux faire de l’engagement, c’est aussi possible, mais de manière plus poussée, contrôlée. Et tu vas aussi avoir la possibilité de faire des ciblages plus poussés que si tu étais simplement dans le boost et avoir beaucoup plus d’informations sur tes résultats. Parce qu’en général, les personnes qui le font sur l’interface de leur téléphone, elles vont avoir des données classiques, alors que si tu passes sur l’interface du gestionnaire de pub, tu vas pouvoir voir ton taux de clics, ton CPM, tu vas avoir beaucoup plus d’informations pour pouvoir expliquer tes résultats optimaux et revenir encore plus fort sur ta prochaine campagne.
Est-ce que c’est ça aussi, le but, s’améliorer à chaque campagne?
[Camille] Oui, c’est ça. Tu vas toujours réussir à faire mieux. Et il y a quelques mois, j’ai eu l’occasion de faire un test parce que j’avais une cliente qui tenait vraiment à faire un boost : le but, c’était d’obtenir des réponses sur un événement sur Facebook, et on a fait une campagne publicitaire dans le gestionnaire. Ça a été flagrant. Au bout de 1 semaine, on avait 9 réponses sur le boost, on en avait plus d’une trentaine sur la campagne. Déjà, ça parle. Il faut savoir que le boost lui peut décider de tout faire sur les deux premiers jours ou faire tout sur les deux derniers. Ce n’est pas quelque chose de régulier. À l’inverse, le gestionnaire de publicités, tu peux gérer ton budget au quotidien, en forçant la machine à te donner des résultats quotidiens et donc tu as plus d’inscrits au bout de 1 semaine.
Donc, ça, c’était le premier point. Le deuxième point : on regardait combien ça nous avait coûté par réponse à l’événement, pour le boost, on était à 1 € par réponse, et sur la campagne, on était à 0,80 centime. Donc, mine de rien, 20 centimes, ce n’est pas beaucoup, mais si tu le mets sur toute la durée, ça te fait plus d’inscrits, ça te fait moins cher qu’au final.
[Obéline] Il y a quand même tout intérêt à passer par la campagne de pub et puis en plus, tu as les infos après pour savoir vraiment qui sont les personnes qui ont répondu. Tu as vraiment beaucoup plus d’infos sur ce qui a fonctionné ou pas. C’est quand même beaucoup plus avantageux, si je comprends bien.
[Camille] Oui, c’est ça.
Quand tu évoques le renvoi vers une page ou autres, on utilise en effet le pixel Facebook pour obtenir des informations. Il y a une subtilité ici, beaucoup de gens nous demandent ce qu’est ce petit élément, à quoi il sert, et comment l’utiliser. En tant qu’experte, pourrais-tu nous éclairer davantage sur le rôle du pixel Facebook ?
[Camille] En réalité, il s’agit simplement d’un bout de code que tu récupères et installes sur ton site internet, sur la page où tu veux rediriger les personnes après avoir vu la publicité. Son objectif est de faire le lien entre Facebook et ton site. Sans le pixel Facebook, il est impossible de connaître le nombre d’inscriptions sur ta page, car il n’a pas accès à ces résultats sans ce lien. Une fois installé, le pixel ne fait que collecter des données et utiliser les outils mis à disposition par Facebook.
Il est essentiel de savoir où trouver ces outils. Par exemple, sur la page de remerciement après une inscription, tu peux compter les personnes qui ont cliqué après avoir vu la publicité. Cela te permet de savoir exactement combien de personnes se sont inscrites grâce à cette publicité. De plus, en affinant tes cibles, tu peux identifier quel ciblage a été le plus efficace. Il est même possible de comparer différents visuels pour voir lequel a généré le plus d’engagements.
En travaillant ainsi, tu apprends à mieux connaître ta cible. C’est une façon impressionnante d’optimiser une campagne publicitaire, en ajoutant des éléments tels que les couleurs, les visuels, les mots utilisés, et même la manière de présenter une promesse. Tout cela peut faire une énorme différence dans l’efficacité de ta publicité.
En ce qui concerne le coût, tu peux gérer ton budget de différentes manières. Facebook peut automatiquement distribuer le budget aux cibles les plus performantes, ou tu peux choisir de répartir le budget directement sur tes cibles. Laisser de la flexibilité à l’algorithme de Facebook est souvent recommandé pour obtenir de meilleurs résultats.
Lancer une première campagne publicitaire peut être intimidant, mais il n’est pas nécessaire de dépenser beaucoup dès le début. Avec un budget modeste, tu peux déjà obtenir des résultats et commencer à analyser les données pour optimiser ta campagne.
Et donc, as-tu d’autres conseils pour ceux qui vont lancer leur première campagne publicitaire ?
[Camille] Ça peut être intimidant au début, c’est vrai. En général, lorsque l’on débute quelque chose pour la première fois, on ressent cette appréhension, la crainte de ne pas savoir comment faire, de commettre des erreurs, et on se demande ce qui pourrait se passer.
Cependant, il n’y a rien de dramatique. Faire des erreurs arrive à tout le monde. Au commencement, il n’est pas nécessaire de vider son compte en banque pour obtenir des résultats ou pour lancer sa première campagne. Ce n’est pas exclusivement réservé aux grandes entreprises ou aux entreprises qui génèrent un chiffre d’affaires important chaque mois. Il est tout à fait possible de faire de la publicité avec seulement 10 € par jour, en laissant tourner la campagne sur 15 jours, ce qui représente un investissement total de 150 € pour les premiers résultats. Ce n’est pas excessif du tout.
Au fur et à mesure, des données vont être générées. Si la campagne fonctionne bien, c’est une excellente nouvelle. Vous pourrez analyser les performances pour comprendre comment cela fonctionne et continuer dans cette voie. Si cela ne fonctionne pas, cela fournit également des informations précieuses pour identifier les problèmes potentiels, que ce soit sur Facebook lui-même ou au niveau de la page de l’événement. Vous pouvez ainsi ajuster votre approche.
Il est important de ne pas s’arrêter à la première publicité qui ne donne pas les résultats escomptés. Bien sûr, il faut persévérer, mais cela ne signifie pas continuer à fonctionner de la même manière. Il est essentiel de revenir avec une nouvelle proposition, de tirer des enseignements de l’échec initial, et d’adapter la stratégie en conséquence.
Il ne faut pas non plus se limiter à un seul ciblage en pensant que notre audience se résume, par exemple, aux entrepreneurs du bien-être. Il est préférable d’avoir plusieurs cibles, car une personne peut être touchée par divers aspects. Elle pourrait être intéressée par le développement personnel, la confiance en soi, mais aussi par l’entrepreneuriat, voire d’autres centres d’intérêt tels que le yoga ou la méditation.
Idéalement, on commence avec trois ou quatre cibles si on a un petit budget. Adapte également le budget en fonction des résultats.
Ne te limite pas à un seul visuel ; crée-en plusieurs. N’aie pas peur d’expérimenter différents types de contenus, que ce soit des vidéos expliquant le produit ou des images variées. Il n’est pas nécessaire de dépenser beaucoup pour produire des contenus de qualité ; parfois, une vidéo simple réalisée avec ton téléphone peut être très efficace.
Un autre point important concerne l’authenticité. Les publicités les plus simples et authentiques sont souvent les plus efficaces. Inutile de chercher la perfection ou de créer des contenus très complexes. Parler directement à la caméra avec ton téléphone crée une proximité et une authenticité qui peuvent vraiment se démarquer.
Enfin, en ce qui concerne les outils, pas besoin de se compliquer la vie. Utiliser des logiciels coûteux n’est pas obligatoire. Il existe des alternatives gratuites, comme Canva, qui peuvent déjà suffire pour créer des contenus attrayants. Ne sous-estime pas le pouvoir de la simplicité et de l’authenticité dans la création de publicités efficaces.
À utiliser et quels sont les pièges à éviter lorsqu’on crée une campagne sur les réseaux sociaux ?
[Camille] Une erreur fréquente consiste à vouloir limiter l’espace d’affichage. En créant une campagne, on a souvent des personnes qui souhaitent exclure certains espaces, par exemple sur Facebook, arguant que leur page n’a pas une forte présence. Cependant, cela peut être une méprise, car les résultats peuvent parfois être supérieurs sur Facebook par rapport à Instagram. Il est essentiel de ne pas se priver de certains espaces, car ils pourraient être efficaces. Il est recommandé de laisser suffisamment de place pour maximiser les opportunités.
Concernant les emplacements personnalisés, il est conseillé d’avoir au moins deux formats : carré et story. Ces deux formats sont importants, car la story peut être plus impactante sur les écrans de téléphone. Le format carré est souvent privilégié pour mettre en avant les informations principales de manière centrée.
Un autre piège concerne l’analyse des résultats. Il est courant de voir des personnes découragées par des coûts par clics (CPC) élevés, pensant que cela signifie l’échec de la campagne. Cependant, il est crucial de contextualiser les résultats et de comprendre que des coûts plus élevés peuvent parfois être justifiés, notamment pour des offres de qualité supérieure.
En résumé, ne pas se priver d’opportunités, diversifier les formats, contextualiser les résultats et savoir quand déléguer sont des éléments clés pour optimiser une campagne publicitaire sur les réseaux sociaux.
Tu vas bientôt lancer des templates lead magnet et masterclass, peux-tu nous en dire un peu plus en avant-première ?
[Camille] Bien sûr, avec plaisir ! Je vais bientôt lancer des templates pour les lead magnets et les masterclass. Ces outils publicitaires sont conçus pour faciliter la vie de ceux qui débutent en publicité et qui n’ont pas nécessairement les moyens de recruter quelqu’un dédié à 100% à la stratégie, à la création des meilleures campagnes, aux meilleurs sites, et surtout aux meilleures créations.
J’ai pu tester ces templates avec mes clients, en explorant différentes approches, des plus classiques aux plus originales. Les templates offrent une dimension plus professionnelle aux visuels tout en permettant un peu plus de créativité et d’originalité pour attirer l’attention. Dans un premier temps, j’ai travaillé sur la mise en place des visuels en format carré et en format portrait, facilitant ainsi le processus pour les utilisateurs.
L’idée est de simplifier le processus, car avec ces templates, il suffit de remplir les informations nécessaires et le tour est joué. Cela représente un gain de temps considérable et permet de démystifier le processus de création.
Dans quels cas vaut-il mieux déléguer la gestion de ses publicités et est-ce que l’on doit casser son PEL pour y arriver ?
[Camille] Il est recommandé de tenter soi-même la première fois. Cela permet d’apprendre comment fonctionne une campagne publicitaire, de comprendre le processus de manière globale, et d’être plus à l’aise avec les différentes étapes. C’est une approche que j’encourage, car cela vous donne des connaissances de base, même si vous décidez ensuite de déléguer certains aspects.
Il n’est pas nécessaire d’être une multinationale pour faire appel à mes services. Cela dépend des besoins spécifiques de chaque entreprise et des moments clé de son activité. Un renfort ponctuel peut être envisagé pour des lancements d’événements ou de nouveaux produits, afin d’optimiser les campagnes publicitaires et maximiser les résultats. La publicité est un outil puissant pour toucher un large public, mais c’est à vous de jouer pour convertir ces opportunités en succès. La clé réside souvent dans les tests et les ajustements constants pour trouver ce qui fonctionne le mieux pour votre entreprise.
Pour finir cet épisode, as-tu quelques astuces business à nous partager aujourd’hui ?
[Camille] Dans mon parcours, j’ai eu la chance d’être bien entouré dès le début, avec des expériences enrichissantes, des professeurs dévoués, et le soutien de mes amis et de ma famille. Je réalise que ce n’est pas le cas pour tout le monde, et si cela ne se produit pas, ce n’est pas dramatique. Il est essentiel d’essayer de trouver ce qui convient le mieux et de persévérer.
Même en cas d’échecs, vous pouvez tirer une expérience précieuse que vous pourrez valoriser auprès des entreprises auxquelles vous aspirez. Avoir tenté différentes choses, que ce soit dans l’entrepreneuriat ou d’autres domaines, constitue une richesse en soi. Chaque échec, en réalité, permet d’avancer, de dédramatiser, et il n’y a pas mort d’homme si les choses ne fonctionnent pas comme prévu.
Prendre du recul sur les situations difficiles, lâcher prise, et surtout, trouver du plaisir dans ce que l’on fait sont des éléments cruciaux, même si cela peut être effrayant. La vie continue, et il est important de relativiser les difficultés. Il faut savoir souffler, prendre du plaisir, car dans l’entrepreneuriat, il est essentiel d’avoir cette étincelle de motivation et de plaisir pour aller de l’avant.
Se prendre des murs fait partie intégrante du jeu, et il est crucial de relever la tête, de continuer à avancer même après des échecs. Il faut avoir cette envie, cette passion, car si on se lance avec seulement 50 % de motivation, cela peut être difficile à maintenir. Il n’y a pas de course précise à suivre, chaque parcours est unique et l’essentiel est de savoir ce qui vous rend vraiment épanoui à la fin de la journée.
Retrouve Camille sur Instagram, et sur son site internet !
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-Obéline 😘